Solitude trompeuse (Frédérik)

Souvent un effort constant, même si ce n'est pas un grand effort, cela épuise. C'est ce qui arrivait parfois à Jerome. Dans ces moments la il cherchait un coin tranquille, éloigné de toutes ces pensées qui cherchait à s'infiltrer dans sa tête, jusqu'à ce qu'il ai le cerveau reposé ou que quelqu'un le trouve. Pendant ces moments de solitudes, il revassait et pensait à tout et à rien. Souvent ses pensées dérivait et il pensait soit è des choses que les autres considèreraient comme bizarre et sans intéret, mais auquels il cherchait justement un sens. D'autres fois il avait des converstion sérieuses avec lui même et méditait sur des questiosn plus ou moins fondamentales. Cette fosi ci, c'étaiot plutot la premiere option.

*Ah...tien une fourmi...qu'est-ce qu'elle transporte la?*

Il se coucha à plat ventre pour mieux l'observer.

*Wow! Ce qu'elle est forte cette petite fourmi...je me demande jusqu'à combien elle peut transporter...j'aime sa couleur, elle est d'un joli noir bien brillant...ce qu'elle est mignone en plus!*

Ses pensées furent interrompue par les pensées d'un autre. Elle s'imposait à son esprit tel un message d'avertissement.

*La personne qui s'en vient est soit de très mauvaise humeur, soit elle a un très mauvais caractère!*

Jérome ne daigna tout d'abord meme pas regarder l'inconnu dont il sentait les pensée toutes plus noires les unes que les autres tourbillonner.

*Je ne peux pas l'ignorer comme sa longtemps, sinon c'est le coup de pied assuré.*

Il se releva alors lentement, avec des gestes lents et prudents.

*C'est comme avec une bete sauvage..*

Cette pensée le fit bien rire mais douta que le jeune homme devant lui l'aurais trouver bien drole, surtout avec le regard noir qu'il lui jettait. Jérome comprennait maintenant comment se sentait une fourmi lorsqu'elle se trouvait à un endroit où on ne voulait pas qu'elle soit.

*Je ne suis pas dans ses sous-vetements en train de lui chatouiller l'arriere train pourtant...pourquoi me regarde-t-il comme si j'avais fait quelque chose de mal?*

Il perça légerement les pensées de l'inconnu pour savoir quel réaction serait la meilleure à adopter et capta par la meme occasion l'image d'une porte.

*Il est faché à cause d'une porte?*

Sa curiosité étant piquée, bien qu'il su que la meilleure chose à faire était surment de prendre ses jambes à son coup il resta, souri légerement au jeune homme et se présenta:

- Je m'appelle Jérome.

Cela prit un moment, mais alors qu’il allait pour envoyé un bon coup de pied dans le visage de l’intrus, celui-ci se mit en mouvement, se relevant lentement. Le regard toujours rivé sur l’inconnu, il le regardait comme si c’était un cafard et qu’il était un roi. Son regard était méchant, cruel et froid.

//Espérons qu’il est intelligent et qu’il va s’en aller bien gentiment par la porte... Mais n’espérons pas trop... Ce pensionnat est remplis d’abrutis...//

Ainsi allait ses pensées tandis qu’il se rendait compte que l’autre homme ne bougerais pas pour s’en aller. Même que celui-ci osait ouvrir la bouche et se présenter à lui. Souriant d’un sourire carnassier, sauvage, il répondit aussitôt avec sarcasme et menace à la salutation de Jérôme.

-Eh bien... Je sais maintenant ce que je dois faire graver sur ta pierre tombale!

//Il va morfler fort celui-là!! C’est un autre de ses connards qui se pensent fins avec leur gentillesse. Il va la ravaler vite fait ça gentillesse et sa politesse.//

C’est sur ces douces pensées que Frédérik abattit son poing sur l’épaule de l’autre jeune homme sans préavis. Il n’avait pas comprit la signification de son regard alors tant pis pour lui.

Jérome senti le poing de l'autre s'abattre sur son épaule.

*Si c'est la bagarre que tu veux la prochaine fois, je te parrerai sans probleme.*

- Il te manquerait ma date de fete....et sa malheureusement pour toi, je ne m'en rapelle plus...mais dit moi, pour etre aussi brutal, tu as du passer une bonne partie de ta vie seule...

*Quand je pense que sans ma grand-mere, j'aurais pu devenir comme lui...*

Il ne le savait que trop, les individus les plus violents étaient aussi ceux qui ne se confiaient jamais, les personnes qui ne sont que trop seules, sans personnes pour les aider à sortir de leur gouffre de solitude.

- Moi aussi j'ai souvent été seul.

Il parlait plus pour lui meme que pour l'autre dont il n'osait essayer de connaitre le nom en s'infiltrant dans ses pensées. C'était dur de se controler, la tentation était forte, mais il avait apprit à résister.

Lorsque son poing s’abattit sur l’épaule de l’autre garçon, il ne sentit aucune résistance... Enfin presque qu’aucune, car le jeune homme était toujours debout devant lui. À la remarque de son vis-à-vis sur sa date de fête, il faillit rire, mais la suite de ses paroles le refrognèrent et le mirent encore plus en rogne.

//Pour qui se prend-t-il?? Il ne connait pas ma souffrance alors qu’il se taise au lieu de dire des conneries.//

C’est pourquoi le frustré de la vie reprit la parole, sa voix encore plus tranchante et glaciale.

-Ne t’inquiète pas. J’écrierai à la place de ta date d’anniversaire la manière dont je t’aurai tué... Ou plutôt ce que tu n’as pas fait qui t’a coûté la vie...

L’autre phrase qu’il entendit sortir de la bouche de Jérôme le fit rire alors qu’il balançait de nouveau son poing, mais cette fois en crochet vers la mâchoire du jeune homme, coup suivit d’une jambette pour le faire tombé au sol.

-Tu ne sais rien connard!!

Il évita facilement le crochet, mais s'effondra tout de meme au sol.

*Tient, il pense vite.*

Cela arrivait parfois des gens comme sa, et cela inquiétait légerement Jérome car cela faisait des gens imprévisibles.

- Tu crois que tu es le seul à avoir déja été tres seul? Et bien c'est la que tu te gourre mon grand, car moi aussi j'ai été seul, bien des fois. Tu me traite de conard? Bien si tu crois que personne ne peut comprendre comment tu te sens, tu dois etre encore plus conard que moi, car je connais au moins une personne qui peut te comrpendre et tu viens de la trouver et meme de l'envoyer au sol. Au fait, à la place de me frapper, essait sonc de t'ouvrir un peu, tu vas voir sa fait du bien.

*Sa y'est, je suis foutu.*

Frédérik put constater que le dit connard était quand même assez intelligent pour parer sa main, mais pas pour voir le coup qui le suivait de prêt. Ainsi avec un grand BOUM, Jérôme se retrouva sur le dos au sol. Alors que le jeune homme remontait un peu dans son estime, il redescendit brutalement lorsqu’au lieu de le supplier de le laissé tranquille ou encore de lui rendre coup pour coup, il se remit à parler avec un discours dégoulinant de sentiments puérils et dégoûtant.

//Arrête!! Tais toi abruti!! Ferme la... FERME LA!!//

Son visage perdit toute couleur pour devenir blême avant de se coloré dans un rouge menaçant colérique. De quel droit ce gamin, ce fou osait lui dire ça, lui faire la morale.

-Tu aurait mieux fait de te taire et de t’enfuir lorsque je t’en es laissé le choix morveux... Tu ne sais pas ce que je peux faire et ce par quoi je suis passé... Alors tu vas fermé ta jolie petit gueule et crever en silence... Suis-je assez clair pour toi ou t’as besoin d’un dessin??

S’avançant un peu plus prêt de la tête du jeune homme couché au sol. Il posa son pied sur sa poitrine avant d’appuyer un peu. S’il lui demandait grâce maintenant, il le laisserait en vit après un petit traitement, mais sinon il ne garantissait pas de l’état dans lequel serait Jérôme. Il avait abordé un sujet tabou pour Frédérik et cela l’avait mis dans un colère monstre. Il allait en payer les conséquences.

Le trop plein d'émotions négatives de l'autre psychopathe commencaient à monter à la tête de Jérome. Il se retenait pour contenir le flot de pensées sombres qui tentaient de s'infiltrer dans sa tête.

*Il faut que cet imbécile arrête de me toucher, sinon je suis foutu, et je ne crois pas que lire dans sa tête a ce moment préci va le mettre de tres bonne humeur.*

Jérome attrapa la jambe de l'autre mec et tenta de se dégager. Non content de réussir, il fini par être à sa place et de le plaquer au sol.

*Super, comment je me sors de cette position maintenant?*

S'il il se relevait, l'autre n'en attendait pas plus pour lui sauter dessus et l'achever. Dans l'autre sens, il n'était pas pour le retenir comme sa bien longtemps. Après tout, il était quand même arrivé à cheval sur lui, et c'était plutot embarrassant comme position. Et puis, il sentait l'autre gigotter et savait que, étant plus fort que lui-même, il n'allait pas tarder à réussir de se dégager. La seule bonne chose, c'ets que pendant que l'autre charchait une facon de se sortir de là, Jérome lui ne sentait plsu al pression de ses pensées sombres.

*Dans quoi je me suis embarquer...j'aurais mieux fait de faire comme d'habitude...me taire.*

Pourtant la colère et la tristesse de l'autre jeune homme lui avaient parues si sincère et si forte qu'il n'avait pu se résoudre à ne rien faire du tout.

*Bon, qu'est-ce que je fais moi la?*

Dans les pensées meurtrières dans lesquelles il était absorbées, Frédérik ne se rendit compte de l’instabilité de sa position qu’au moment où l’autre garçon attrapa sa jambe pour le faire tomber au sol. C’est donc avec un grand BOUM, que le jeune homme se retrouva au sol, ayant tombé sur son bras qui hélas ne se rompit pas pour le grand malheur du nouveau dominant qui allait sûrement s’en recevoir un coup. Bref tout ça pour dire que le bad temperzz était maintenant sous Jérôme qui se trouvait à cheval sur son bassin. Une position très explicite pour quelqu’un n’étant pas dans le conflit depuis le début.

//Bordel qu’il est con se mec!! Je voulais être gentil et lui laisser une chance, mais je crois que je viens de changer d’avis!!! JE VAIS ME LE FAIRE !!!!!!!!//

Pensée très très très meurtrière il va s’en dire. Peut-être que Jérôme l’avait entendu qui sait, en tout cas, Frédérik l’avait pensée très fort et ses yeux, qui lançaient des éclairs, étaient très significatifs de la durée de vie du jeune homme qui venait de raccourcir de plusieurs années.

-Je crois que tu ne m’as pas très bien compris. Et je crois aussi que tu vas crever ici comme le chien galeux que tu es.

Sur ces gentils mots dit avec sincérité, Frédérik avança les bras dans les airs et attrapa le vêtement que portait le jeune homme. D’un violente impulsion, il l’attira à lui pour ensuite agripper sa gorge entre ses doigts et commencer à serre fortement. Le brun voulait étrangler l’autre garçon.