Journal de Chloé

L'arrivé d'un ange

Il y avait un vide dans ma vie
Et tu es arrivé comme par magie
Transformant à jamais mon destin
En l’éloignant des profonds chagrins

Dans t’es bras en me serrant
Juste pour quelques instants
Le monde me semble parfait
Loin de toutes inégalités

Je vis enfin ce doux rêve
Ou sur ton fier destrier tu m’enlèves
Tous sa en m’appelant Princesse
Dans ta voix ces mots ne cesses

Tous sa est tellement irréelle
Je peux de nouveau regarder le ciel
Et remercier tous les étoiles
Qui devant mes yeux ont enlevé leurs voiles

Pourquoi un ange est venu me réconforter ?
Moi qui me sentais sombrer
Il est venu et ma fais découvrir un sentiment.
Il me rend belle en m’aimant

Son regard plongé dans le mien
Qui me rappelle que aimer c’est bien
Des mots doux dans sa voix
Et je ne sais plus ou est ma foi

Je n’ai qu’une peur que tu envol
Si tu le fais j’en deviendrais folle
Comment te dire tous ce qu’il y a en moi
Tous ces sentiments qui ne sont destinés qu’as toi !

Mon petit bébé que j'aime et ces toi Justin

Juste un peu de tendresse,
Pour te réchauffer.
Juste une caresse,
Pour effleurer ta peau,
Sentir sous mes doigts battre ton coeur.
Approcher mon visage sur ton torse,
Pour connaitre l'odeur de ta peau.
Me blottir là,
Pour être réconfortée,
Ne plus avoir peur,
Oublier un instant,
Le temps présent si dur et si pesant.
Cacher la douleur,
Qui me fait si mal,
Lorsque je pense à demain.
Je voudrais rester là,
Bien au chaud dans tes bras,
Où rien ne peux m'arriver.
Protège-moi,
Emmène-moi loin,
J'en ai tellement besoin !

C'est l'amour

sentiment incessant, grandissant;
Empli de joies, de peines,
Souvent au bord de la haine;
Pourtant languissant, à tout instant.

C’est un grand frisson, une déraison;
Illusion, qui emporte les sens;
Fusion instantannée qui renie l’abscence,
C’est le fruit meme de la passion.

Ce sont tes cheveux dans le vent,
Ma main posée délicatement;
Comme un baiser de pieux,
Sur ton sourire d’amoureux.

Ce sont tes pas dessinés sur le sable,
Et ce gout au sirop d’erable;
Que tes lèvres abandonnent sur les miennes
Bien au delà de tous nos dilhèmmes.

C’est toi l’amour de mon amour,
Sentiment unique au fond de moi;
Je pourrai en mourir tous les jours,
Si un matin tu t’en vas...

Si tu savais
A la fin de mon chemin
On m’appelle au matin
Pour m’annoncer ce destin
Sur lequel, pointe une main.
Toute autre, il me retrouve
Mes yeux le prouvent.
De ton regard tu me couve
Je ne suis plus une louve.
Si tu savais
Ce qu'il a brisée
Sur moi sa main il a lever
Si tu savais
Dans ma traversée
Ce que j’ai enduré.
Si tu savais
Quand, sollicitée
Je m’abandonnais.
Si tu savais,
Au silence je réduirais
Ce monde qui s’arrêterait.
Perdant le goût de la vie
Blanches, furent mes nuits
Malade, aujourd’hui
Je t’appelles de mon lit.

Si tu savais
Avec cette porte fermée
Ce qui disparaissait.
Si tu savais
Mes larmes j'essuillais
Mon mouchoir caché.
Si tu savais
Quand il me frappait
Ces moi qui criait
Si tu savais
L’espoir, il l’as tué
Le noir, étalé, remué
Plus rien ne compte plus
Le perdu n’est pas perdu
J’ai gagné l’inconnu.
Si tu savais
Mes doigts que je mordais
Heure sans jour, attristée.
Si tu savais
Mieux ne rien savoir
Je viens pour vous voir.
Je prie pour vives
Je reste dans l’autre rive.

Chloé.

Ton vrai visage

Voilà, tu me fais souffrir
Sur toi j’avais trop misé.
J’aurai pu ne rien ressentir
Si, au moins il était aiguisé.
De mon front, un filet de sang
Sur ma joue, il trace sa voie
Trop rouge pour être blanc
Gris et noir aux abois.

Te voilà bien impatient
Tu agites, ton orgueil
Injuste, et insolente
Qu’as-tu fait de l’abeille ?
Mon cœur pressé, se vide
Entre mes poumons, se cherche
Trop de chaînes, trop de brides
Les artères, sont-elles des perches ?

Me voilà, je ne l’étais pas
Toute belle, tu m'a caressé
Le ciel n’était pas aussi bas
Au respect tu m’as dressé.
Mes mains toute tremblantes
De mon corps s’éloignent
Grande, détresse violente
Tort et sort, s’empoignent.

Te voilà, on ne peint pas la rose
Infidèle, oubliant ta mission
Tu es bien devenue une chose
Toute toile a besoin de finition.
Mon dieu, aveugle j’étais
Il mérite cette sentence
Lits et paniers sans fierté
Je cultive la malchance.
Mon dieu, sincère je regrette
Naïf, disposé, j’étais prêt
Calculatrice, pour d’autres, prête
Aujourd’hui, je paye les frais.

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